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L'Equipe de France a touché le fond, mais creuse encore !
Ils ne s'arrêteront donc jamais ! Après Raymond Domenech et ses 2,9 millions d'Euros d'indemnisation pour licenciement abusif (pour en savoir plus, cliquez ici), ce sont désormais les joueurs qui s'attirent les foudres du public et des médias. Les 23 mondialistes ont en effet décidé de revenir sur leur décision de renoncer aux recettes liées au sponsoring. Ont-ils déjà oublié leur comportement scandaleux et leur piètre performance lors de la Coupe du Monde ? Pour leur rafraîchir la mémoire, voici un bref récapitulatif de leurs plus belles actions :
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Poésie : Nicolas Anelka est exclu de la sélection après ses insultes proférées à l'encontre de Raymond Domenech lors de la mi-temps du match contre le Mexique, perdu 2-0.
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Politesse : William Gallas a répondu à la demande d'interview d'un journaliste de TF1 par un bras d'honneur
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Collectif : L'Équipe de France s'est illustrée lors d'une pathétique grève de l'entraînement, durant laquelle les joueurs refusèrent de se rendre sur la pelouse . Ils protestaient contre les décisions prises par la FFF.
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Romantisme : Peu avant la Coupe du monde, Franck Ribéry avait été mis en examen pour « sollicitation de prostituée mineure ».

Devant l'immense polémique suscitée par les frasques des « mutins de Knysna », Patrice Evra avait alors déclaré - avec le ton grandiloquant et solennel du capitain qu'il était alors - que les joueurs ne bénéficieraient pas les 5 millions d'euros de recette marketing qu'ils avaient à se répartir. «On renoncera à toutes les primes, on n'acceptera pas un seul centime», avait-il martelé après la défaite face à l'Afrique du Sud (2-1). Une décision qui laissait espérer que les joueurs avaient pris conscience de l'image catastrophique qu'ils avaient donné du maillot bleu.
Cependant, 5 mois plus tard, les belles promesses se sont envolées. Les 23 joueurs du Mondial ont en effet tenté de renégocier leur accord – tacite, ne l'oublions pas - avec la FFF. Pour la Fédération, ce revirement de situation est une bien mauvaise affaire. Son président Fernand Duchaussoy espérait que la renonciation aux primes permettrait de compenser les 1,36 millions d'Euros déficit annuel de la FFF, en grande partie causé par le fiasco sud-africain. Le principe semblait pourtant judicieux : puisque les joueurs sont responsables du manque à gagner, alors ce sont eux qui doivent contribuer à rembourser les pertes. Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Nous avons été bien naïfs d'y croire. Car un tel accord supposait en effet que les joueurs de l'Équipe de France étaient assez courageux et honnêtes pour reconnaître leur faute. Nous avions en fait oublié que les maîtres mots de ces « imposteurs », pour reprendre les termes du quotidien L'Équipe, étaient bien individualisme, égoïsme et avarice : un triptyque diabolique bien loin des bonnes intentions que nous leur prêtions. C'est probablement ce qui les amène aujourd'hui à ne renoncer qu'à leur primes sportives, qui auraient été de toute façon infimes compte tenu de leur élimination au premier tour. Il est en revanche hors de question pour eux de ne pas percevoir leurs revenus marketing. Autrement dit, s'ils reconnaissent l'échec sportif, les Bleus nient avoir terni l'image du football français. Un peu facile non ?
Cette polémique a néanmoins le mérite de conforter l'idée que la déclaration initiale de Patrice Evra avait été faite sans l'appui de ses coéquipiers. Une annonce qui était surtout un moyen pour le joueur de Manchester de sauver son bilan de capitaine, à la tête d'une équipe minée par les "guerres de clans". De la grève de Knysna à l'affaire des primes, les Bleus n'ont jamais été une équipe, et encore moins intelligents.
Et dire que pendant ce temps-là, Raymond joue au poker (cf vidéo)....
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